Le dimanche matin… au programme à 11h00 les Fisherman’s friends. Nous nous réveillons vers 9h00, comme chaque matin. Café, peu de bavardages, et vers 10h30, finalement nous descendons tous trois vers la pyramide voir cette chorale d’authentiques marins de Cornouailles devenus chanteurs professionnels en signant avec Universal un album devenu disque d’or au Royaume Uni.
En quittant le concert, avec Hub, nous décidons d’un aller retour à la voiture, pour transporter quelques affaires (il fait absolument beau nous n’avons plus besoin de vêtements chauds), déposer des affaires sales dans le coffre, tout ceci dans l’optique de nous alléger au maximum pour le départ du lendemain. Ce passage par la voiture sera aussi le moyen de recharger un peu les batteries du téléphone. Au retour, nous nous retrouvons tous dans un bar à côté de la John Peel Tent. Là nous buvons un verre en terrasse en écoutant Foster the People.
Une anglaise, nous entendant parler français s’adresse à nous dans notre langue. Elle est surprise de nous voir là… Elle, elle est mariée à un français et vit à Paris, mais connaît le festival de longue date. En revanche, ce n’est que la deuxième fois qu’elle y vient.
Nous partons déjeuner, puis nous séparons, je vais me promener dans mes endroits fétiches Green Fields, Healing Fields, Craft Fields. Je cherche quelque chose que je pourrais ramener comme cadeau à ma Béa, en particulier il y a des potiers (elle adore), mais c’est pas possible, c’est trop fragile pour la tente, les sacs, le portage du lendemain qui va être tendu, et dans la voiture tout est en vrac. J’abandonne l’idée. Finalement, je rentre à la tente pour dormir un peu, récupérer. Dans l’après midi, dernier clash du festival, il y a Paul Simon en même temps que Duane Eddy. Je verrais bien…